En transhumance vers le bonheur
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Cinq jours, quatre nuits, cent kilomètres, mille mètres de dénivelé entre Languedoc et Cévennes avec des chiens, des bergers, des accompagnant(e)s et 1 400 brebis. Pourquoi aujourd’hui encore transhumer à pied ? Et surtout pourquoi les habitués ne manqueraient-ils ça pour rien au monde ?