Voyage aux frontières de la vie

Parce qu’il faut toujours croire en ses rêves d’enfant et se donner les moyens de les réaliser.

Quand l’homme pose pour la première fois un pied sur la lune, Nathalie a cinq ans et regarde ces premiers pas à la télévision, émerveillée. C’est à ce moment-là que naît sa vocation première, elle sera astronaute.

Mais à cette époque, rares sont les filles qui font des études au-delà du Bac, surtout en sciences.

Alors elle mobilise tout ce qu’elle sait faire et aime depuis l’enfance : explorer, dessiner, comprendre, l’abstraction, les nombres. La liste est longue.

Elle repasse son Bac, s’inscrit à la Fac, soumet sa thèse de fins d’études, et grâce à ses relations, travaille à l’observatoire de Meudon. Plus tard elle va travailler à la Nasa sur les rovers qui vont partir explorer le sol de Mars puis diriger l'institut Seti. Spécialisée en exobiologie, elle va faire du désert de l’Atacama son terrain de jeu et étudier les effets de la raréfaction de l’oxygène sur la vie dans les hauteurs du volcan Licancabur.. Prouesse à la fois scientifique et sportive sur ce sol et dans cette atmosphère qui ressemblent le plus à celui de Mars.

Mais consciente des problèmes d’environnement sur la Terre, c’est aussi dans cette optique qu’elle étudie la vie dans ces conditions extrêmes pour tous les organismes vivants.

Et bien sûr, aujourd’hui toujours très active, cette femme exceptionnelle s’engage pour l’ouverture de la science aux femmes et aux jeunes filles qu’elle soutient en parlant de sa propre expérience.

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