Albert Lemant - Un thé à Whitechapel - Catalogue en ligne de votre médiathèque

Chaque semaine, Albert Lemant vous propose d'avancer avec lui dans  une nouvelle histoire "Un thé à Whitechapel"... So bristish !

Comme il nous en a déjà fait la joie lors du printemps dernier avec l'histoire du pangolin, Albert Lemant nous propose cette fois-ci un voyage dans le si emblématique Londres de la deuxième moitié du XIXe siècle.

Albert vous explique ce choix en quelques lignes :

"Il s'agit  en fait cette fois d'une histoire plus à la "Tim Burton" !... qui se passe dans le Londres de la fin du XIX siècle, il y aura plein de références à... Lewis Caroll, Conan Doyle, HG Wells, Stevenson, Jack l'éventreur, Elephant Man, Pinocchio, Sherlock Holmes etc etc... Une sombre histoire de crimes inexpliqués, de thé évidemment, d'amour, de fête foraine, mais évidemment tout ça traité d'une façon extrêmement loufoque et humoristique, enfin comme d'habitude... C'est encore une fois un hommage à tout cet univers victorien que j'adore !"

"Les dessins sont de Sylvain Granon, l'ami avec lequel j'avais effectué un " repérage" à Londres il y a quelques années..."

 

Chaque semaine vous pourrez retrouver de nouveaux chapitres sur Hapybiblio, de quoi voyager dans le temps et l'espace !

 

Un Thé à Whitechapel

 

“…Est-ce à cause de cela qu’il y a tant de tasses à thé sur cette table? demanda-t-elle.

“Oui, justement, dit le Chapelier en soupirant, c’est toujours l’heure du thé…”

Alice au pays des merveilles - Lewiss Carroll

 

“…Vous souvenez-vous, cher confrère, si la théière pot-de-chambre de la mère Grogan est mentionnée dans le Mabinigion ou les Upanishads?”

Ulysse - James Joyce

 

“…Il y a un train pour Londres bientôt Watson, mais que penseriez-vous d’une tasse de thé aux “Chequers” avant que nous sautions dedans?”

L’homme qui marchait à quatre pattes - Sir Arthur Conan Doyle

 

“…C’est alors qu’ils découvrirent à la douce lumière d’une lampe, un bon feu qui pétillait gaiement dans l’âtre, une bouilloire qui chantonnait son léger refrain, quelques tiroirs ouverts, des papiers disposés en ordre sur la table de travail, et plus près du feu, le plateau préparé pour le thé; en un mot, l’intérieur le plus paisible qui fût…”

L’étrange cas du docteur Jekill et de Mister Hyde - Robert Louis Stevenson